Hier, France 5 a diffusé un documentaire sur la Champagne. Le reportage a essayé de montrer tout les aspects du monde Champenois et toute sa complexité. Le documentaire est intéressant mais loin d'être complet.
Effectivement, on peut qualifier d’ « intéressant » ce reportage. Il est important de préciser que l’Aisne fait partie des 5 départements de l’appellation Champagne (contrairement à ce que laisse entendre le reportage à son début). On peut ensuite regretter les exemples choisis qui ne sont pas représentatifs des producteurs de Champagne ; Vranken-Pommery avec sa vision moderne du Champagne (art contemporain, Champagne bu avec une paille…), et Champagne Agrappart et Fils où leurs vision élitisme et biologique de leur production en font une marque unique et décalé (www.champagne-agrapart.com).
Heureusement le reportage insiste bien sur le fait que le monde du Champagne cherche d’avantage à améliorer sa qualité plutôt qu’a s’étendre. Il serait facile de céder à la tentation de répondre à la demande en volume, en augmentant le rendement par hectare ou la surface cultivé, mais cela serait fatal à moyen terme pour la qualité et le savoir-faire champenois.
"L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. " Claude Evin "Le Vin est la plus saine et la plus hygiénique de toutes les boissons." Louis Pasteur
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Effectivement, on peut qualifier d’ « intéressant » ce reportage. Il est important de préciser que l’Aisne fait partie des 5 départements de l’appellation Champagne (contrairement à ce que laisse entendre le reportage à son début). On peut ensuite regretter les exemples choisis qui ne sont pas représentatifs des producteurs de Champagne ; Vranken-Pommery avec sa vision moderne du Champagne (art contemporain, Champagne bu avec une paille…), et Champagne Agrappart et Fils où leurs vision élitisme et biologique de leur production en font une marque unique et décalé (www.champagne-agrapart.com).
Heureusement le reportage insiste bien sur le fait que le monde du Champagne cherche d’avantage à améliorer sa qualité plutôt qu’a s’étendre. Il serait facile de céder à la tentation de répondre à la demande en volume, en augmentant le rendement par hectare ou la surface cultivé, mais cela serait fatal à moyen terme pour la qualité et le savoir-faire champenois.
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